P.V.L Championnat de France 2018 suite !
Actualité publiée le 29/08/2018
Paru dans le Berry républicain mercredi 29 Aout 2018
Achères a accueilli le championnat de France de courses de lévriers poursuite à vue sur leurre, organisé par le club canin achérois et lévriers de Boisbelle.
retour
Achères a accueilli le championnat de France de courses de lévriers poursuite à vue sur leurre, organisé par le club canin achérois et lévriers de Boisbelle.
Parmi les propriétaires, deux copines avaient amené leurs barzoïs, des lévriers russes : Nathalie Trefoux et Cécile Gouarin, du Domaine d'Iasnaïa-Polonia. Toutes les deux sont des passionnées, élevant une portée par an, accumulant les kilomètres pour participer aux courses.
Leur championnat s'est très bien déroulé, « dans un cadre super et dans une bonne ambiance », estimaient-elles, alors qu'elles attendaient la deuxième épreuve.
Les chiens ont déjà participé à la première manche le matin et ont été jugés par trois juges, sur leur ardeur, la capture du leurre, leur adresse. Ils ont totalisé un certain nombre de points.
La course de l'après-midi est réellement décisive. Et la différence se fera sur les chiens qui ont le mieux récupéré des courses du matin.
Pour être présents, les chiens ont participé à trois qualifications en courses, et une en beauté. Pourtant, c'est bien la partie course que préfèrent les deux amies. « Le lévrier est un chien de chasse et c'est un vrai plaisir de les voir courir, la poursuite à vue sur leurre est un simulacre de chasse. Il ne faut pas oublier que les lévriers sont interdits de chasse depuis 1844 en France », développent les deux propriétaires.
Entraînés comme des athlètes
Pour en arriver là, les chiens sont entraînés tels des athlètes. Un chien performant doit avoir une bonne épaule, un poitrail descendu pour avoir des poumons et de l'endurance, du souffle, une bonne génétique, il doit être entraîné jeune pour avoir plus de facultés à se transformer ; un travail de longue haleine qui nécessite beaucoup de passion.
Leur championnat s'est très bien déroulé, « dans un cadre super et dans une bonne ambiance », estimaient-elles, alors qu'elles attendaient la deuxième épreuve.
Les chiens ont déjà participé à la première manche le matin et ont été jugés par trois juges, sur leur ardeur, la capture du leurre, leur adresse. Ils ont totalisé un certain nombre de points.
La course de l'après-midi est réellement décisive. Et la différence se fera sur les chiens qui ont le mieux récupéré des courses du matin.
Pour être présents, les chiens ont participé à trois qualifications en courses, et une en beauté. Pourtant, c'est bien la partie course que préfèrent les deux amies. « Le lévrier est un chien de chasse et c'est un vrai plaisir de les voir courir, la poursuite à vue sur leurre est un simulacre de chasse. Il ne faut pas oublier que les lévriers sont interdits de chasse depuis 1844 en France », développent les deux propriétaires.
Entraînés comme des athlètes
Pour en arriver là, les chiens sont entraînés tels des athlètes. Un chien performant doit avoir une bonne épaule, un poitrail descendu pour avoir des poumons et de l'endurance, du souffle, une bonne génétique, il doit être entraîné jeune pour avoir plus de facultés à se transformer ; un travail de longue haleine qui nécessite beaucoup de passion.